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ancienne cafeiere beausejour-guadeloupe

L'HISTOIRE N'EST PAS LE PASSÉ
ELLE EST JUSTE CE QUI RESTE DU PASSÉ

À PROPOS
propriétaires-Caféière Beausejour-guadeloupe

NOTRE
HISTOIRE

En tant que nouveaux propriétaires de cette ancienne Habitation Caféière du XVIIIème siècle, Etienne et Didier souhaitent vous faire partager son histoire et son évolution au fil du temps. 

Cette propriété fait partie du patrimoine de la Guadeloupe.

La généalogie immobilière ou foncière, c’est à dire la recherche de l’origine et de l’histoire d’une maison ou d’un terrain peut s’avérer tout aussi enrichissante et passionnante que celle de nos ancêtres.  

Nous mettons à votre disposition, au travers de ces quelques pages, l'ensemble de nos recherches, de nos interviews, de notre documentation.

L'HISTOIRE DE LA CAFÉIÈRE
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SON HISTOIRE

L'Habitation Caféière Beauséjour et ses cafeyers, connu sous le nom de Habitation Caféière Samana Beauséjour est une ancienne Habitation caféière du 18ème siècle.

Le mot "Habitation" est aujourd'hui galvaudé, beaucoup l'utilisent pour nommer une construction moderne, et en cela, dénature la partie historique du mot.

 

Une Habitation est avant tout en lien avec une ancienne propriété coloniale, une exploitation agricole utilisant des esclaves, en anglais "plantation" sur laquelle était édifiée une maison en brique ou bois dite "maison du maître". Ce bâtiment était construit en bois rouge afin de ne pas subir les attaques des termites.

Selon Danielle Begot : "L’habitation antillaise est un domaine terrien dont la raison d’être est la mise en valeur à des fins spéculatives de terres qui ne seront jamais des terroirs, et qui a trouvé dans la culture de la canne sa plus parfaite expression". (Usines et habitations-sucreries, Trois siècles de patrimoine industriel martiniquais. Bureau du patrimoine du Conseil Régional de la Martinique, 1989, p. 27.) 

 

Génératrice de société, elle est à la fois unité de production avec ses bâtiments, son « personnel », et unité de base de la société esclavagiste.

 

Par conséquent, s’il s’agit pour Danielle Bégot d’une « réalité spatiale » nécessitant une occupation et une maîtrise de l’espace des plus efficaces, c’est surtout un système organisateur, structurant la société antillaise.

 

Dès lors, une nette distinction s’opère désormais dans l’habitat entre la maison de maître et les cases d’esclaves.

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